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Sujets

Homme - femme - humanité

Le chat et le cycliste

Les chercheurs qui trouvent

Les Italiens et l'amour

Les Italiens et le sérieux

Les Moscovites germanisés

Les trouvailles du professeur de symétrie

Restez conne...

Réveil par le silence

Tristesse des hommes

 

Apprendre en riant

Si vous lisez l'allemand et le français, je vous propose la lecture de mon livre Zwischen Saurierpark und Zukunftsmusik, paru dans la collection Französisch für Besserwisser de l'éditeur Schmetterling Verlag. Ce n'est pas un cours de langue mais tout en riant vous y apprendrez des choses étonnantes sur la langue française.
Pour plus d'info, voir Meine Veröffentlichungen.

Introduction

Ce recueil de citations ne veut pas être une concurrence des livres de ce genre, qui existent déjà en librairie, mais son contenu sera surtout constitué des trouvailles que vous allez (j’espère) nous envoyer. Pour ce faire, cliquez ici, s’il vous plaît. Les citations signées "hrh" ont été apportées par moi-même.

A chaque fois que vous verrez quelque chose d’imprimé à ne pas cacher à vos contemporains, envoyez-le-nous - avec indication de la source et si possible, avec un petit commentaire personnel.

Les différents sujets généraux qui se montreront probablement peu à peu seront ordonnés et distribués en divers chapitres dès que leur volume aura atteint une certaine importance (humour, perles, choses mémorables, choses douteuses, etc.). Mais pour le début, une seule page nous suffira.

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Restez conne...

C'est déjà dur de se voir traiter de conne mais être insulté de la sorte par son opérateur téléphonique, c'est vraiment le comble. Cela a pourtant dû arriver à bien des personnes, ces derniers temps. La preuve :

restez_conne_300.gif

Apparemment l'opérateur n'a pas tenu compte du fait que son message "Restez connecté(e)" ne donnait pas de bons résultats sur les écrans téléphoniques dont la largeur était inférieure à la longueur du texte du message...

[hrh fév. 2015]

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Homme - femme - humanité

Dans le compte-rendu d'une entrevue de Nicolas Schaller avec Fabrice Luchini, sous le titre de L'homme qui parle on a pu lire :

« L'homme est minable et pathétique. Les femmes sont tyranniques et patronnes. Je caricature un peu, mais [...] »

Est-ce bien seulement du film Paris (de Cédric Klapisch) que Fabrice Luchini parle en ces termes ?

[hrh déc. 2008]

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Les Moscovites germanisés

« Je considère ces Moscovites avec tristesse, tu comprends, ils sont devenus trop européens, de vrais Allemands, ils ne savent pas faire la fête. »

Galaktion Gondiachvili, chef de table géorgien, en 1925, à quelques années de son exécution par un sbire géorgien de Béria, lui-même Géorgien,
dans : Vassili Axionov, Une saga moscovite I (p. 82).

[hrh]

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Les Italiens et le sérieux

Le commissaire américain :

- Mais je ne suis pas triste ! Simplement, je considère la vie sous un jour sérieux.

Réponse du commissaire italien Tarchinini :

- Et ça vous amène à quoi ?

Exbrayat, Chewing-gum et spaghetti

[hrh]

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Les Italiens et l'amour

"(...) on ne peut pas comprendre l'Italie et les Italiens si l'on n'accepte pas, d'emblée, la priorité absolue de l'amour."

Le commissaire véronais Romeo Tarchinini, dans Exbrayat, Chewing-gum et spaghetti

[hrh]

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Tristesse des hommes

"Et la tristesse des hommes est dans les hommes,
mais cette force aussi qui n'a de nom,
et cette grâce, par instants, dont il faut bien
qu'ils aient souri."

Saint-John Perse, Neiges III

[hrh]

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Les chercheurs qui trouvent

"Des chercheurs qui cherchent, on en trouve,
tandis que des chercheurs qui trouvent, on en cherche."

Jean Amadou

[hrh]

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Réveil par le silence

Dans Henning Mankell, Hundarna i Riga, se trouve la phrase suivante prononcée par un des protagoniste (Major Liepa):

"Vissa människor väcks av tuppar, andra av att tystnaden är för stor."

("Certaines personnes se réveillent à cause [du cri] des coqs, d’autres, parce que le silence est trop grand." [ma traduction])

Phrase très vraie pour toutes les sociétés du monde, non seulement celui des pays (ex-)communistes...

[hrh]

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Le chat et le cycliste

Non, il ne s’agit pas là d’une fable posthume de La Fontaine !

Dans son roman La storia (p. 236), Elsa Morante, qui est pourtant un des plus grands écrivains de la littérature italienne, se hasarde à faire la comparaison suivante se rapportant à une petite chatte :

“essa corse subito a testa bassa e coda alta, come un ciclista in velocità”

(elle se mit tout de suite à courir, tête baissée et queue en l’air, comme un cycliste faisant de la vitesse)

Comment circule-t-il donc, ce cycliste ? ;-))

(La gloire ne protège guère l’écrivain du manque de respect de ses lecteurs...)

[hrh]

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Les trouvailles du professeur de symétrie

Le professeur de symétrie, d’Andréi Bitov, abonde de petites et grandes vérités dont il serait intéressant de discuter. En voici quelques exemples :

“Cette vie s’ajustait encore parfaitement à l’intérieur du temps qui lui était imparti, c’est-à-dire que le temps avait encore le temps de rattraper la vie.” (p. 77)

Cela ne vous rappelle-t-il pas la phrase écrite par José Saramago : “Il faut laisser le temps au temps...” (dans L’Aveuglement, voir Littérature portugaise) ?

“[...] la conscience de son infériorité peut rendre un idiot plus sage à bien des égards que les gens normaux.” (p. 79)

“Une vraie thérapie par le travail n’est possible qu’au paradis.” (p. 88)

“La vie s’écoule à la surface du temps et ondule perpendiculairement, effleurant quelque chose de supérieur puis s’en éloignant pour à nouveau l’effleurer...” (p. 114)

“Il croyait avoir le temps de tout faire demain et voilà qu’aujourd’hui c’était hier.” (p. 164)

“Si l’on endigue le temps en tentant de retenir le passé ou d’amasser l’avenir, alors on se trouve submergé par les eaux qui jaillissent par la petite fissure appelée ’maintenant’ et l’on se noie dans le courant du présent.” (p. 235)

[hrh]

Hans-Rudolf Hower 2002

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Dernière mise à jour : 06/04/16